Une rentrée en toute sérénité , c'est plonger dans une exposition haute en couleurs. "Croyez en vous et un jour viendra où les autres n'auront pas d'autres choix que de croire en vous" . Cette phrase de Cynthia Kersey illustre parfaitement le chemin des graffeurs du monde entier. Le berceau urbain comme mode d'expression et aujourd'hui Paris n'en finit plus d'aduler ses "vandales"!
Au milieu des boutiques de luxe, en plein coeur du quartier de Saint Germain des près, Zenoy s'expose à la galerie Ange Basso, située au 64 rue mazarine.
Il est le maître parisien de la "writing". Un art de la signature né à Philadelphie dans les années 60 et basé sur la technique de la lettre. J'entre dans la galerie et mon regard , tel un aimant,se pose sur une oeuvre posée nonchalamment contre d'autres créations de l'artiste. Les couleurs, les motifs mélangés et creusés dans la toile donnent toute son âme à cette composition . Mon émotion doit être palpable, Hamid ( qui gère la galerie) se lève et vient spontanément déposer le tableau sur un mur blanc, puis dans la rue afin que j'apprécie les variantes de celle-ci selon la lumière. Les murs parisiens sont presque jaloux , surtout que les collectionneurs d'art ont fait flambé les prix des oeuvres !Je suis touchée par ce geste, il est propice à des échanges cordiaux ( ... et commerciaux si seulement si ...). La galerie expose d'autres créations de l'artiste dont de très connues. Le graffiti et la bande dessinée s'harmonisent en couleurs sur le plan de métro parisien, sur ces tôles de station. Le totem est si léger qu'il paraît presque sobre dans cette avalanche de couleurs. Et mon regard qui ne cesse de revenir au coup de 💓. Les heures et les jours passent, le souvenir est si indélébile que je pense tenter ma chance à la prochaine cagnotte du loto.
🚇 Ligne 4 ~Station OdéonAu milieu des boutiques de luxe, en plein coeur du quartier de Saint Germain des près, Zenoy s'expose à la galerie Ange Basso, située au 64 rue mazarine.
Il est le maître parisien de la "writing". Un art de la signature né à Philadelphie dans les années 60 et basé sur la technique de la lettre. J'entre dans la galerie et mon regard , tel un aimant,se pose sur une oeuvre posée nonchalamment contre d'autres créations de l'artiste. Les couleurs, les motifs mélangés et creusés dans la toile donnent toute son âme à cette composition . Mon émotion doit être palpable, Hamid ( qui gère la galerie) se lève et vient spontanément déposer le tableau sur un mur blanc, puis dans la rue afin que j'apprécie les variantes de celle-ci selon la lumière. Les murs parisiens sont presque jaloux , surtout que les collectionneurs d'art ont fait flambé les prix des oeuvres !Je suis touchée par ce geste, il est propice à des échanges cordiaux ( ... et commerciaux si seulement si ...). La galerie expose d'autres créations de l'artiste dont de très connues. Le graffiti et la bande dessinée s'harmonisent en couleurs sur le plan de métro parisien, sur ces tôles de station. Le totem est si léger qu'il paraît presque sobre dans cette avalanche de couleurs. Et mon regard qui ne cesse de revenir au coup de 💓. Les heures et les jours passent, le souvenir est si indélébile que je pense tenter ma chance à la prochaine cagnotte du loto.
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